Une prise en charge rapide



Le SOS DOS est une structure médicale spécialisée dans le traitement des douleurs aiguës du dos 24heures/24 et 7jours/7: Lumbago, sciatique, hernie discale ou tassement vertébral.

Les traitements proposés par les différents spécialistes du SOS DOS sont adaptés au cas du patient, des soins les plus simples aux techniques les plus avancées.

un parcours patient simplifié

1 - Traiter la douleurDès votre arrivée, notre équipe adapte un protocole anti-douleur spécifique à votre pathologie pour diminuer son intensité et vous soulager rapidement.

2 -DiagnostiquerLe médecin poursuit les investigations necessaires à l'établissement d'un diagnostic complet afin de prendre avec vous, les mesures adéquates

3 - SoignerVous êtes orienté vers le ou les services de soins correspondants afin de bénéficier de la thérapie la plus efficace et adaptée à votre situation de santé.

LES INTERVENANTS

LES TECHNIQUES

Infiltrations sous guidage scanner

Une infiltration est une injection d’une substance anti-inflammatoire, la cortisone, associée parfois à un anesthésique local pour un effet plus immédiat. Le but de cette piqûre est de soulager les douleurs, en luttant contre l’inflammation. Il s’agit plus d'un «médicament» que d’un geste «chirurgical» qui aurait une action mécanique.

Différentes infiltrations existent en fonctions de la cible douloureuse : foraminales ou épidurales, lorsque l’on souhaite traiter une inflammation des racines nerveuses, facettaires, discales ou sacro-iliaques, lorsque l’on cible un élément mécanique de la colonne vertébrale.

Le choix de la bonne infiltration se fait au SOS DOS par un praticien qualifié (urgentistes, médecin rééducateur, radiologue ou chirurgien), en fonction des symptômes et des résultats des examens d’imagerie médicale. Toutes les infiltrations sont réalisé avec un guidage du geste sous scanner, pour gagner en efficacité et en sécurité.

Cimentoplastie

La cimentoplastie vertébrale est un procédé d’injection de ciment dans le corps vertébral pour stabiliser une fracture ou un tassement vertébral.

Le ciment est utilisé dans le corps humain, notamment en chirurgie orthopédique, depuis plus de cinquante ans, et on connaît aujourd’hui sa parfaite inertie et sa bonne tolérance même à long terme.

Au SOS DOS, c’est le radiologue interventionnel qui réalisera le geste. Sous guidage du scanner, il va introduire un trocard (aiguille creuse), sous anesthésie locale, en direction du centre de la vertèbre. Le trajet est précis et sécurisé, et une fois la confirmation de la positon de l’aiguille dans le corps vertébral, le ciment est injecté, très liquide. Il va remplir la cavité créée par la fracture, réalisant une véritable console, qui renforcera la vertèbre.

A mesure que le ciment monte à la température du corps, il va durcir. Ce durcissement est achevé en quelques minutes, et la stabilité est donc immédiate. L’efficacité sur les douleurs liées à la fracture sont également assez immédiates la plupart du temps. La consolidation osseuse finale de la fracture se fera néanmoins à son rythme, de manière naturelle, autour de la zone cimentée, en plusieurs semaines, comme sur une fracture non cimentée..

Chirurgie mini-invasive

Pour diminuer au maximum l’impact des gestes chirurgicaux sur le corps humain, depuis plus d’une décennie, toutes les techniques chirurgicales ont évolué vers une diminution de la taille des incisions, de la section des tissus et des saignements opératoires.

Dans le domaine de la chirurgie du rachis, ces éléments sont d’autant plus importants, que les tissus environnants sont très richement innervés et participent à l’équilibre globale de la colonne vertébral. Les respecter d’avantage aura donc un impact direct sur le devenir de la colonne.

La technique mini-invasive d’ablation de la hernie discale, utilisée pour le SOS DOS, a pour principe de créer l’accès à la colonne à l'aide de tubes dilatateurs de diamètres croissants, qui écartent les muscles sans avoir à les sectionner. Une fois le diamètre final atteint (en général 2 cm), les dilatateurs sont retirés, pour ne laisser en place que le tube dans lequel les instruments de travail du chirurgien pourront passer afin de pénétrer à l'intérieur du canal vertébral

Le fragment discal, qui s’est retrouvé de manière accidentelle dans ce canal, sera alors retiré à travers le tube de travail, permettant ainsi de décomprimer la racine nerveuse.

En fin d’intervention, après le retrait du tube, les muscles para-vertébraux vont reprendre naturellement leur place, et l’incision cutanée pourra être suturée.

Si les critères d’éligibilité à la chirurgie ambulatoire sont réunis, le retour à domicile le jour même de l’intervention sera autorisé.

Hernie ambulatoire

Spécialité par spécialité, le nombre d’acte réalisé en chirurgie ambulatoire progresse. La chirurgie de la colonne vertébrale, qui fait partie des chirurgies les plus délicates, a du patienter plus que d’autres spécialités, avant de valider une pratique ambulatoire. Les techniques opératoires ont dû, à la fois, diminuer considérablement leur invasivité et gagner en sécurité pour permettre ce tournant. Certains centres de pointe sur le territoire français, comme le CCV Montpellier, ont commencé en précurseurs, sur le courant de l’année 2016, la réalisation d’ablation des hernies discales en ambulatoire.

Pour le SOS DOS, une unité ambulatoire de chirurgie de la hernie discale a été créée à la Clinique du Parc

Passer à l'ambulatoire, ce n’est pas simplement de faire rentrer chez lui, le patient opéré, le soir même de la chirurgie. Il s’agit de la mise en place d’un processus qui va du choix de la technique opératoire adéquate, à l’organisation du circuit du patient avant, pendant et après la chirurgie.

Tout d’abord, la sélection des patients éligibles et volontaires est primordiale. Elle est faite conjointement avec l’équipe d’anesthésie, qui va personnaliser le suivi peri-opératoire, c’est à dire que l’anesthésiste vu en consultation sera celui qui endormira le patient et le suivra jusqu’à sa sortie de clinique. Puis le patient bénéficiera d’un entretien avec une infirmière dédiée à la Récupération Rapide Après Chirurgie (RRAC), pour mettre en place l’organisation qui permettra son retour à domicile le soir de l'intervention et les premiers moments de sa convalescence.

Le jour de l'opération, l’unité de chirurgie ambulatoire accueillera le patient le matin, tôt. La chirurgie mini-invasive se déroulera en début de matinée. En fin de matinée, le kinésithérapeute effectuera le premier lever du patient, s’assurera de sa capacité à marcher et à reprendre son autonomie sur les gestes simples. L’anesthésiste et le chirurgien donneront le feu vert, en début d’après-midi, pour la sortie du patient, qui rentrera alors chez lui. Il sera recontacté le lendemain matin par un membre de l’équipe médicale pour s’assurer que tout va bien. Un numéro d’urgence sera disponible 24h/24.

Implants

L’équipe chirurgicale du CCV Montpellier et les radiologues interventionnels de la Clinique du Parc, ont développé un procédé original de mise en place d’implants rachidiens sous scanner.

Ce procédé, réalisé sous anesthésie général, a permis un gain inouï en mini-invasivité et en sécurité interventionelle. Cette technique a des applications nombreuses en chirurgie de la colonne vertébrale, notamment dans la chirurgie de la scoliose.

Pour le SOS DOS, la technique est utilisée pour le placement per-cutané de vis dans la colonne, pour la stabilisation de certaines fractures complexes de la colonne vertébrale. Ce protocole allégé permet au patient de se lever le soir même ou le lendemain matin de la procédure. Selon la fracture, le port d’un corset sur mesure pourra être nécessaire dans les suites opératoires.

PATHOLOGIES

QUESTIONS FRÉQUENTES


Lumbago (5)

Qu’est-ce qu’un lumbago ?
C’est une douleur aiguë (brutale) du rachis lombaire (région du bas du dos, des «reins»).
Combien de temps peut durer un lumbago ?
Le lumbago peut soit débuter brutalement, soit s’installer insidueusement en quelques jours. La douleur peut être très violente, décrite comme un coup de couteau. Cette phase hyperalgique guérit la plupart du temps en quelques jours. A cette phase le repos et les anti-inflammatoires sont les plus importants. Parfois, des contractures musculaires s’installent, qui peuvent, elles, durer plusieurs semaines. A cette phase, les douleurs sont moins aiguës, mais restent invalidantes. Les soins de kinésithérapie sont alors nécessaires (massage, physiothérapie, élongations douces)
Quand faut-il consulter ?
Il faut consulter le médecin traitant (MT)en cas de blocage. Le SOS DOS pourra être sollicité en cas d’échec du traitement mis en place par le MT.
Faut-il faire des examens ?
En l’absence de douleurs de sciatiques ou de cruralgies vraies, c’est à dire qui déscendent au moins jusqu’au genou, il n’y a pas besoin d’imagerie.
Quel est le traitement du lumbago ?
- Repos
- Anti-inflammatoires
- Antalgiques
- Kinésithérapie douce en sortie de crise

Sciatiques/Cruralgies (3)

Quand est-ce qu’une sciatique/cruralgie devient grave/inquiétante ?
Quand il apparaît des signes de souffrance du nerf (classés du moins grave au plus grave): paresthésies (fourmis) permanentes, Hypoesthésies (endormissement de la peau) permanente, parésie (perte de force)permanente.
Peut-on se paralyser sur une sciatique/cruralgie ?
Les paralysies complètes associées à une sciatique/cruralgie sont rares mais pas impossibles. Dans la grande majorité des cas, ces paralysie complètes apparaissent d’emblée, dès le début des symptômes et non progressivement. Les parésies, ou paralysie légères, peuvent s’installer, elles, progressivement. C’est pour cette raison qu’il faut contrôler régulièrement la force dans les membres inférieurs.
Quel est le traitement initial de la sciatique/cruralgie?
- Repos
- Anti-inflammatoires
- Antalgiques
- Kinésithérapie douce en sortie de crise

Entorses cervicales (3)

Qu’est ce qu’une entorse cervicale bénigne ou grave ?
Une entorse est une lésion des ligaments et capsules qui servent à unir deux ou plusieurs os, au sein d’une articulation. Au niveau cervical, soit il s’agit d’une entorse bénigne, c’est à dire d’un simple étirement de ces ligaments, soit d’une entorse grave, avec une rupture complète des ligaments, qui peut entraîner une instabilité et donc un risque de glissement entre deux vertèbres. C’est souvent les radiographies dynamiques (en mouvement) du cou, qui permettent de savoir si cette instabilité existe. L’entorse grave nécessite toujours un avis spécialisé, et le plus souvent un traitement chirurgical.
Quels examens faut-il réaliser en cas d’entorse cervical ?
Les radiographies sont nécessaires. Si elles font craindre une fracture, il faudra compléter le bilan initial par un scanner. A distance (environ 15 jours après le traumatisme), il faudra réaliser les radiographies dynamiques
Combien de temps peuvent durer les douleurs après une entorse cervical ?
-L’évolution normale d’une entorse bénigne est la guérison en une quinzaine de jours, sans séquelles. Cependant, il n’est pas rare, que les contractures musculaires accompagnées parfois de céphalées (mal à la tête) ou de sensation de vertiges puissent se prolonger bien plus longtemps. Ces symptomes, bien que très pénibles, ne sont pas des éléments de gravités, et auront tendance à s’atténuer avec le temps.

Hernie discale (9)

Quand faut-il opérer une hernie discale ?
La seule vraie urgence pour opérer une hernie discale, c’est lorsqu’il y a des signes avancés de paralysie des jambes. En dehors de ce cas de figure, on va toujours tenter un traitement médical qui associe repos, anti-inflammatoires, antalgiques et parfois kinésithérapie très douce pendant quelques semaines. Puis en fonction de l’efficacité du traitement, du niveau de la douleur et du souhait du patient de reprendre plus ou moins vite ses activités, on discutera soit de poursuivre encore ce traitement, soit de passer à l’étape du dessus : infiltration (qui n’est pas systématiquement faite)ou bien chirurgie. La décision de traitement se prend toujours conjointement avec le patient.
Quels sont les chance de succès d’une infiltration ?
Il est difficile de prévoir à l’avance si une infiltration va soulager le patient. Dans le cas de hernie discale douloureuse de faible ou de moyen volume, il est logique de tenter cette infiltration qui a de grande chance de fonctionner, au moins un certain temps. Le soulagement obtenu pourra être partiel ou total, bref ou durable, sans que l’on puisse le prévoir. L’efficacité de l’infiltration pourra être immédiate, ou différée jusqu’à 2 ou 3 semaines. Dans le cas de très volumineuses hernies discales, les chances de succès de l’infiltration, sont beaucoup moins importantes, ce qui ne veut pas dire qu’on ne la tentera jamais. L’avis du patient compte beaucoup dans la décision.
Combien peut-on faire d’infiltration au maximum ?
Il n’y a pas de limite scientifique au nombre d’infiltrations que l’on peut réaliser. Néanmoins, si une infiltration ne fonctionne pas ou très peu la première fois, il est peu probable, qu’elle fonctionne d’avantage si on la réitère. Par contre, si le soulagement permis par l’infiltration a été important et que l’effet s’estompe après quelques semaines ou quelques mois, on pourra refaire l’infiltration de manière répétée tant que le service rendu, par ce geste, est bon.
Quels sont les risques d’une infiltration ?
il existe plusieurs types d’infiltrations, dont les 2 plus pratiquées sont l’infiltration des facettes, ou articulaires postérieures, et l’infiltration foraminale. La 1ere est la moins risquée, car plus superficielle et loin des racines nerveuses. Elle peut être faite sous scanner, sous radio ou même parfois au cabinet du praticien. La seconde est beaucoup plus précise, car très proche de la racine nerveuse. Elle doit être faite à notre époque sous scanner, pour gagner au maximum en efficacité et en sécurité. Dans les mains d’un radiologue interventionnel expérimenté, le risque est excessivement faible, puisque le scanner permet de contrôler au millimètre près le trajet de l’aiguille et sa position par rapport aux éléments nerveux.
Que faut-il faire après une infiltration ?
L’infiltration se fait en ambulatoire et ne prend que quelques minutes. Il faut repartir accompagné, pour ne pas avoir à conduire, car la jambe peut être engourdie quelques heures. Il est recommandé de se reposer 24/48h. On entend par repos, d’éviter la voiture, le port de charge, les fortes activités, mais par contre de rester un minimum actif, en favorisant la marche à pied.
Comment se passe une opération d’ablation de la hernie discale ?
Au SOS DOS, la chirurgie de la hernie discale se fait en ambulatoire, si les conditions sont réunies. La technique chirurgicale mini-invasive, consiste à accéder à la colonne vertébrale à travers un tube, pour pénétrer dans le canal vertébral et retirer le fragment de disque pathologique à travers ce tube. Ces techniques permettent de diminuer au maximum la taille de la cicatrice (entre 2 et 3 cm) et les lésions musculaires. La douleur de sciatique ou de cruralgie (douleur dans la jambe) a tendance à diminuer très nettement dès le réveil de l’opération. Les douleurs au niveau de la cicatrice sont en générale faciles à calmer avec les antalgiques en cachets. Le retour chez soi se fait le jour même, et il faut observer une période de repos pendant 4 à 6 semaines. D’une façon générale, pour les problèmes de dos, on entend par repos d’éviter la voiture, le port de charge, les fortes activités, mais par contre de rester un minimum actif, en favorisant la marche à pied. La kinésithérapie pourra être associée à cette période de repos, mais elle n’est pas systématique.
Est ce que la hernie discale peut récidiver après la chirurgie ?
Il est important de comprendre que la chirurgie de la hernie discale n’a pour seul but que de décomprimer une racine nerveuse souffrante et génératrice de douleur. Elle n’a pas vocation à influer sur le devenir de la dégénérescence du disque qui est la pathologie à l’origine de la formation de cette hernie. Cette dégénérescence ou discopathie, va se poursuivre en progressant à un rythme très variable selon les individus. Selon les circonstances, cette évolution pourra être responsable de lombalgies (mal au dos) ou de récidive de hernie (estimée à 5 à 10%). Le traitement de cette discopathie est différent de la chirurgie d’ablation de la hernie discale et peut consister, selon certains critères précis, au remplacement du disque par une prothèse discale.
Peut-on traiter une hernie discale par une prothèse discale ?
La prothèse discale est le traitement chirurgical de la discopathie douloureuse et résistante au traitement médical classique. Certaines personnes, souffrent de façon chronique de ces discopathies, et peuvent développer sur une de ces discopathies, une hernie discale. Si les critères de décision pour mettre en place une prothèse discale sont réunis, on traitera alors, par cette intervention, la hernie discale, que l’on retirera en même temps que le reste du disque pathologique. La prothèse discale, aura dans ce cas de figure, plusieurs buts : traiter la lombalgie (mal au dos)chronique, traiter la sciatique ou cruralgie due à la hernie discale et empêcher les récidives de hernies discales.
Comment se passe une intervention de prothèse discale ?
A la différence de la chirurgie d’ablation de la hernie discale, qui se pratique par le dos, la chirurgie de la prothèse discale, elle, se réalise à travers l’abdomen. Il s’agit d’une chirurgie mini-invasive, et pour son implantation, la prothèse ne nécessite qu’une cicatrice de quelques centimètres (6 à 10). Le passage à travers l’abdomen se fait dans un espace naturel : l’espace rétropéritonéal, c’est à dire en contournant la poche du péritoine qui contient tous les viscères. Les risques de lésions de ces viscères sont ainsi réduits au minimum, et la partie avant de la colonne vertébrale est ainsi facilement atteinte. La difficulté réside dans la mobilisation des vaisseaux, situés juste devant la colonne. Cette mobilisation est grandement sécurisée par l’assistance d’un chirurgien vasculaire. Une fois l’abord de la colonne vertébral réalisé, la résection du disque et éventuellement de la hernie est assez aisée pour un chirurgien formé à la technique. Un des nombreux atouts de cette technique, vient du fait que les nerfs sont situés dans la colonne vertébrale, en arrière du disque, et donc que lors de la résection de ce disque, les racines nerveuses ne seront ni vues, ni manipulées ; les risques de les léser sont ainsi ramenés au plus bas. La prothèse peut alors être implantée, solidement ancrée dans les 2 plateaux vertébraux. Le lever après l’opération se fera en général, le lendemain de la chirurgie, et le retour chez soi après 3 à 5 jours. Après une convalescence de quelques semaines - la durée de cette convalescence va varier selon les individus , la reprise des activités se fera progressivement. A terme, beaucoup reprendront un niveau d’activité professionnel et sportif jugé très satisfaisant.

Tassement vertébral (3)

Quelle est la différence entre un tassement et une fracture de la vertèbre ?
Un tassement survient sur un os friable, souvent ostéoporotique, et demeure en règle générale stable. Il y va très peu de gros pavés osseux, instables. Le risque de recul du mur postérieur de la vertèbre qui peut entrainer une compression de la moelle est exceptionnel. Une fracture vertébrale, c’est l’inverse : la vertèbre éclate en plusieurs fragments osseux, très instables, avec des risques de lésions neurologiques en l’absence de traitement adéquat.
Faut-il faire une cimentoplastie pour chaque tassement vertébral ?
Non, la plupart des tassements vertébraux vont consolider sans laisser de séquelle. La cimentoplastie est réservée aux tassements qui reste douloureux au delà de quelques semaines, ou de manière plus précoce selon certains critères radiologiques, que le radiologue ou le chirurgien du SOS DOS seront amène d’expliquer au patient.
Quels sont les autres traitements des tassement vertébraux ?
La plupart des tassements sont traités de manière fonctionnelle, c’est à dire, avec du repos et des antalgiques. Parfois une ceinture lombaire peut soulager, mais elle n’a pas de vertue d’immobilisation. Il est rare que l’on prescrive des corsets rigides, qui sont plutôt réservés aux fractures. Enfin dans certains cas particuliers, notamment lorsqu’il existe une forte menace de lésions des nerfs ou de la moelle épinière, il est parfois réalisé une chirurgie d’ostéosynthèse.
Magazine Le Point.

3ème établissement privé de France pour la chirurgie de la colonne vertébrale

N° 2294 - Palmarès 2016 sur 1400 établissements. Magazine Le Point.
Magazine Science et Avenir

Parmis les 15 meilleurs établissements de France pour le traitement mini-invasif de la hernie discale

Numéro 818 - Où se soigner Magazine Science et Avenir.

Témoignages

"Une douleur devenue quotidienne que les médicaments ne soulageaient plus... Le SOS DOS m'a permis d'obtenir enfin un diagnostic précis."

Brigitte B, Saint Mathieu de Tréviers

"Rentré aux urgences un dimanche soir, retour à mon domicile le mardi avec hernie discale soignée. [...] Un grand merci à l'équipe médicale. "

Eric D, Montpellier

"[...] Nous avons donc convenu d'une infiltration. Tout est bien expliqué, [...] le passage sous scanner à été très rassurant pour moi."

Franck P, Lunel

"[...] il existe au SOS DOS un savoir-faire du début à la fin car j'ai eu la sensation cette fois que mes douleurs ont été "comprises" [...].

Malika B, Montpellier

SOS DOS

Clinique du Parc
Service d'Accueil des Urgences
50 Rue Emile Combes
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Numéro de Prise en charge
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